Ripert, Émile (1882-1948)

Classe

Personne

Forme retenue

fre Ripert, Émile (1882-1948)

Autres formes du nom

fre Emile Ripert
fre Émile Ripert
fre Louis Marie Adrien Émile Ripert
fre Ripert, Louis Marie Adrien Émile
fre Émile Louis Marie Adrien Ripert
fre Ripert, Émile Louis Marie Adrien

Pseudonyme(s)

oci Lou felibre du Cigalo

Identifiant de la personne dans un référentiel externe

Nom de famille

fre Ripert

Prénom(s)

fre Louis Marie Adrien Émile
fre Émile Louis Marie Adrien
fre Émile
fre Emile

Langue

fre

Nationalité

fr

Genre

fre masculin

Identifiant pérenne

Date de naissance

fre 11 novembre 1882
1882-11-11

Date de mort

fre 23 avril 1948
1948-04-23

Lieu de naissance

Portrait, représentation de la personne

Récompense(s) reçue(s) par la personne décrite

fre Prix national de poésie 1912

Site web de ou sur la personne décrite

Membre de

Reprendre la forme retenue

fre Ripert, Émile (1882-1948)

Description

Originaire de La Ciotat, Emile Ripert, bachelier en 1899, rejoint Paris pour entrer à l’Ecole normale supérieure. Il y découvre la poésie contemporaine. Le grand-père d'Emile Ripert, Adolphe Ripert, était membre du félibrige et ami de Frédéric Mistral. Mais ce n'est qu'en 1901 qu'Emile Ripert rencontre Frédéric Mistral, et concomitamment découvre la poésie en langue d’oc, et surtout provençale. Il rencontre également en 1902 Edmond Rostand.
Il passe à l'Ecole normale de 1901 à 1905, et à partir de 1907, commence sa carrière de professeur au lycée de Toulon. Il voyage en Italie, Rome, Assise, Florence, Naples, Gênes, Bologne, et y redécouvre via « La Divine Comédie » de Dante la "terra-rima", qui irrigue son œuvre poétique. Il publie en 1912, « La Terre des lauriers », qui lui vaut le Prix national de poésie. En 1916, il est élu à l'Académie des sciences, lettres et arts de Marseille, sur le fauteuil de Frédéric Mistral. En 1920, il est nommé à la chaire de Langue et Littérature provençale, créée pour lui à la Faculté des Lettres d’Aix-en-Provence. Toute sa carrière universitaire sera consacrée à la Provence, à sa langue dont il demandera inlassablement l’admission au baccalauréat, à Frédéric Mistral qu’il considère comme son maître, et à sa ville natale qu’il chante dans ses romans, « L’Or des Ruines » et surtout dans ses vers : « Le Golfe d’Amour » (1908), « La Terre des Lauriers » (1912) et « Le Train Bleu » (1929). A partir de 1933, il s'intéresse au théâtre et crée le Théâtre Sylvain de Marseille et le Théâtre de verdure de Gemenos. Il est élu Majoral du Félibrige en 1934, et la même année Conseiller général des Bouches-du-Rhône.

Ressources liées

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Abrégé d'histoire de Provence. [Tome 1]. Des origines au traité d'union Contributeur(s) Texte
L'ombre de la bastide : poèmes Contributeur(s) Texte
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Turle, Émile (1890-1921) Relations Personne