Chapelan, Maurice (1906-1992)

Classe

Personne

Forme retenue

fre Chapelan, Maurice (1906-1992)

Autres formes du nom

fre Maurice Chapelan

Pseudonyme(s)

fre Aristide
fre Aymé Dubois-Jolly
fre Dubois-Jolly, Aymé
fre Charles Mouron

Identifiant de la personne dans un référentiel externe

Nom de famille

fre Chapelan

Prénom(s)

fre Maurice

Langue

fre

Nationalité

fr

Genre

fre masculin

Identifiant pérenne

Date de naissance

fre 1er janvier 1906
1906-01-01

Date de mort

fre 14 mars 1992
1992-03-14

Lieu de naissance

Lieu de décès

Récompense(s) reçue(s) par la personne décrite

fre Prix Lange pour "Anthologie du journal intime" (1950)
fre Prix Broquette-Gonin (philosophie) pour "Maximes" (1960)
fre Prix de la Critique pour l'ensemble de son oeuvre (1974)
fre Prix d’Académie pour "Amante en abîme" (1989)

Profession / Activités

fre Journaliste, essayiste et scénariste.

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fre Chapelan, Maurice (1906-1992)

Description

Après avoir fait des études à Toulouse, et avoir été chassé de la maison familiale de Pau, où il avait fréquenté l’entourage de Jean-Paul Toulet, Maurice Chapelan s’installe à Paris en 1930, où il retrouve le poète Maurice Rey rencontré à Pau et entre en contact avec la vie littéraire par l’intermédiaire du poète Philippe Chabaneix et de sa librairie Le Balcon où se retrouvent Francis Carco, Fernand Mazade, Vincent Muselli, Yves-Gérard Le Dantec…
Il commence à collaborer à la revue « La Muse française » avec ses amis Chabaneix et Rey. En octobre 1934, après son retour de deux ans de service militaire en Corse, il crée avec ses amis Luc Estang et Robert Houdelot, une revue de poésie, « Le beau navire ». Il devient de 1934 à 1936 le secrétaire de Bernard Grasset, alors en conflit pour récupérer sa maison d’édition, et auquel il tient lieu de garçon de compagnie. Durant cette période, il écrit quelques pièces de théâtre, modestement montées.
A partir de 1947, Maurice Chapelan publie ses chroniques hebdomadaires dans « Le Figaro littéraire », sous le pseudonyme d’Aristide dans lequelles il défend la langue française de manière rigoureuse. Grasset l’aidera à entrer dans les bureaux chez Grasset à partir de 1953. Très discret, il publie huit ouvrages de 1947 à 1989, dont une « Anthologie du journal intime » qui reçoit le prix Lange de l’Académie française en 1950, des volumes d’aphorismes et maximes. En 1977, il signe « Rien n'est jamais fini », récit autobiographique sur ses années 30.

Ressources liées

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Contributeur
Titre Libellé alternatif Classe
Le beau navire, 1ère année, numéro 1 Contributeur(s) Texte
Le beau navire, 1ère année, numéro 2 Contributeur(s) Texte
Le beau navire, 1ère année, numéro 3 Contributeur(s) Texte
Créateur
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Le beau navire Créateur(s) Texte