Pize, Louis (1892-1976)

Classe

Personne

Forme retenue

fre Pize, Louis (1892-1976)

Autres formes du nom

fre Louis Pize

Identifiant de la personne dans un référentiel externe

Nom de famille

fre Pize

Prénom(s)

fre Louis

Langue

fre

Nationalité

fr

Genre

fre masculin

Identifiant pérenne

Date de naissance

fre 18 mai 1892
1892-05-18

Date de mort

fre 4 septembre 1976
1976-09-04

Lieu de naissance

Portrait, représentation de la personne

Récompense(s) reçue(s) par la personne décrite

fre Croix de Guerre (1914-1918)
fre Prix Archon-Despérouses pour "Les muses champêtres" (1926)
fre Prix Francis-Jammes (1961)
fre Mandat des poètes (1968)
fre Grand prix de la Société des poètes français (1970)
fre Prix Émile-Hinzelin de l’Académie française pour "Au pays de l'automne" (1972)
fre Chevalier de la Légion d'Honneur

Reprendre la forme retenue

fre Pize, Louis (1892-1976)

Description

Elevé par sa mère après le décès de son père lorsqu’il a 11 ans, Louis Pize reçoit de celle-ci une appétence pour la poésie et la musique. Après son baccalauréat, il déménage en 1909 avec sa mère et sa sœur de son Vivarais natal à Lyon pour suivre des études de droit ; il obtient sa licence mais reste attiré davantage par les lettres. En 1913, il publie son premier recueil de poèmes, « Poèmes des Jardins et de la Montagne », remarqué par Francis Jammes. Après la Première guerre mondiale, où il est blessé à Saint-Dié et reçoit la Croix de Guerre, il publie en 1919 « La Couronne de Myrthe » dédiée à ses amis morts au combat. Après avoir exercé quelques années comme avocat à Lyon et avoir publié son troisième recueil en 1920 « Les Pins et les Cyprès », il abandonne définitivement le droit en 1922 après son mariage pour se tourner vers l’enseignement. Il est en 1924 professeur de lettres classiques à l’externat Saint-Joseph de Lyon. Malgré sa vie lyonnaise, il reste très attaché à sa région natale du Vivarais, et décide la création avec ses amis Charles Forot et Marcel Bechetoille des Editions du Pigeonnier à Saint-Félicien où il publie trois recueils de sa poésie célébrant son Vivarais, ainsi que le Rhône. Membre de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, il en devient Président en 1964. Il meurt le 4 septembre 1976 à Saint-André-du-Vivarais où il avait sa résidence secondaire d’été.

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