Cruptomeria on the way of (Takinoo) Nikko
Classe
Image fixe
Type
Photographie
Titre
en
Cruptomeria on the way of (Takinoo) Nikko
Créateur
Éditeur
fr
Studio photographique d'Ogawa Kazumasa (Iidabashi, Tôkyô)
Numérotation de l'éditeur
fr
B1131
Date
1880?
Sujet
fre
Paysage - chemin forestier
fre
Montagnes
fre
Arbres- Cèdres japonais
fre
Religion - Shintoïsme - Temple
eng
Landscape - Forest
eng
Trees - Japanese cedar
eng
Religion - Shintoism - Shrine
eng
Moutains
jpn
山道
jpn
杉の木
jpn
宗教・神道・滝尾神社
jpn
日光滝尾神社参道
jpn
たきのおじんじゃ
jpn
森林
Couverture temporelle
1877-1895
Couverture spatiale
Format
fr
2 fichiers JPEG (recto : 3.32 Mo ; verso : 2.59 Mo)
fr
2 vues
Technique et dimensions
fr
Épreuve à l’albumine sur papier montage sur carton
264*212 cm
Autre numérotation
60 et 49 (numérotations manuscrites de Louis Dumoulin au verso du cliché)
Propriétaire
fr
Photographie probablement acquise par le peintre Louis Dumoulin lors de son premier séjour au Japon en 1888-1889.
Provenance
fre
Bibliothèque de l'ancien musée des colonies (Paris)
Marque(s) d'appartenance
fre
Tampon bleu au nom de Louis Dumoulin
Source
Université Côte d'Azur. BU Lettres Arts Sciences Humaines. Fonds ASEMI
Cote
PH110-19
Droits
fre
Domaine public
Identifiant pérenne
Description
Cette photographie présente un point de vue du chemin forestier menant au temple Takinoo sur le site sacré de Nikkô. Les grands cèdres japonais célèbres sur ce site confère à ce dernier un caractère majestueux très apprécié des visiteurs déjà au XIXe siècle. Les cèdres de Nikkô font d'ailleurs partie des thèmes classiques de la photographie japonaise de la fin du XIXe siècle et Louis Dumoulin, comme beaucoup de voyageurs occidentaux, a collectionné plusieurs clichés sur ce thème.
Louis Dumoulin s'est du reste rendu plusieurs fois à Nikkô et notamment lors de son premier voyage au Japon en 1888-1889, très certainement en compagnie de Georges Bigot. Nikkô était déjà à la fin du XIXè siècle un lieu touristique majeur fréquenté notamment par de nombreux visiteurs occidentaux. Dumoulin semble avoir été marqué par la beauté de Nikkô et de ses environs et les grands cèdres y sont probablement pour quelque chose. Dans son oeuvre picturale, Nikkô est d'ailleurs un thème important auquel il requiert souvent pour représenter le Japon. C'est par exemple Nikkô que Dumoulin retient pour la partie japonaise de son monumental Panorama du tour du monde lors de l'Exposition universelle de Paris en 1900. Ce montage a plus particulièrement inspiré un autre tableau de Dumoulin exposé à la galerie Georges Petit en janvier 1890 et intitulé "Tronc de cèdre".
Ce montage photographique ressemble beaucoup au montage numéro PH110-20. Cette ressemblance provoque d'ailleurs chez Dumoulin une confusion au niveau des annotations qu'il porte au verso de chaque montage puisqu'il y inverse les légendes.
Cette photographie, dont l'auteur est probablement T. Enami semble avoir été achetée par Dumoulin en 1888 ou 1889, non pas auprès du studio de ce dernier qui n'ouvrira qu'en 1892 mais auprès du studio d'Ogawa Kazumasa pour le compte duquel Enami travaillait à cette date.
Louis Dumoulin s'est du reste rendu plusieurs fois à Nikkô et notamment lors de son premier voyage au Japon en 1888-1889, très certainement en compagnie de Georges Bigot. Nikkô était déjà à la fin du XIXè siècle un lieu touristique majeur fréquenté notamment par de nombreux visiteurs occidentaux. Dumoulin semble avoir été marqué par la beauté de Nikkô et de ses environs et les grands cèdres y sont probablement pour quelque chose. Dans son oeuvre picturale, Nikkô est d'ailleurs un thème important auquel il requiert souvent pour représenter le Japon. C'est par exemple Nikkô que Dumoulin retient pour la partie japonaise de son monumental Panorama du tour du monde lors de l'Exposition universelle de Paris en 1900. Ce montage a plus particulièrement inspiré un autre tableau de Dumoulin exposé à la galerie Georges Petit en janvier 1890 et intitulé "Tronc de cèdre".
Ce montage photographique ressemble beaucoup au montage numéro PH110-20. Cette ressemblance provoque d'ailleurs chez Dumoulin une confusion au niveau des annotations qu'il porte au verso de chaque montage puisqu'il y inverse les légendes.
Cette photographie, dont l'auteur est probablement T. Enami semble avoir été achetée par Dumoulin en 1888 ou 1889, non pas auprès du studio de ce dernier qui n'ouvrira qu'en 1892 mais auprès du studio d'Ogawa Kazumasa pour le compte duquel Enami travaillait à cette date.
Annotations
Japon. Nikko (annotation manuscrite de Louis Dumoulin)
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Relation(s)
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