Temple de Préasat Préa Tomrey. VIIe - XIIe siècle. Éléphant de face, provenant de la pyramide du divin éléphant. Sculpture originale. - Au fond, linteau et fausse porte à une tour du temple de Bayon. Restitution

Classe

Image fixe

Type

fre Photographie

Titre

fre Temple de Préasat Préa Tomrey. VIIe - XIIe siècle. Éléphant de face, provenant de la pyramide du divin éléphant. Sculpture originale. - Au fond, linteau et fausse porte à une tour du temple de Bayon. Restitution

Numérotation de l'éditeur

fre 57 (numéro du montage sur lequel figure ce cliché)

Date

Couverture spatiale

Format

fre 1 fichier JPEG (3,43 Mo)

Technique et dimensions

fre Épreuve à l'albumine sur papier montage sur carton
fre 17*12,5 cm

Est une partie de

Provenance

fre Bibliothèque de l'ancien Musée des colonies (Paris)

Marque(s) d'appartenance

fre Tampons bleus du Musée de la France d'outre-mer

Source

fre Université Côte d'Azur. BU Lettres Arts Sciences Humaines. Fonds ASEMI

Cote

PH83-113

Droits

fre Domaine public

Identifiant pérenne

Description

Vue d'une statue d'éléphant, originaire de la pyramide de Preah Damrei. "Préasat Préa Tomrey" renvoie à ce dernier nom ; cette pyramide fait partie du Preah Khan de Kompong Svay. Louis Delaporte décrit ainsi la découverte de cet éléphant dans son livre Voyage au Cambodge : "Préasat Préa Tomrey, la pyramide du Saint-Éléphant, vers laquelle fut dirigée notre troisième excursion, est l'édifice le plus fameux de toute la contrée. Elle n'a que 20 mètres de côté à la base et 7 mètres environ de hauteur. Huit statues de divinités gardiennes et huit lions, posés au sommet des escaliers, entouraient primitivement sa plate-forme. Cette décoration était complétée aux angles par quatre éléphants richement caparaçonnés et rappelant ceux du célèbre temple indien de Madhoureh. La plupart de ces sculptures n'étaient plus que gisantes, en mauvais état, sur le sol ou sur les gradins, et cette destruction était assurément l'œuvre des hommes bien plus que celle du temps. Un seul éléphant était demeuré debout : c'était précisément le Préa Tomrey, l’Éléphant sacré, que les conquérants siamois n’avaient sans doute pas osé abattre.". Derrière, une reconstitution d'une fausse porte du Bayon, temple d'Angkor Thom.

Ressources liées