Commentaire de critique poétique sur les deux ouvrages édités par Armand Guibert dans sa collection des "Cahiers de Barbarie"

Ce commentaire est le point de commencement d'une évolution profonde de la conception poétique d’Henri Bosco à partir d’août 1937, sous l’influence d’Armand Guibert qui a rejoint les correspondants d’« Aguedal » et les amis d’Henri Bosco : celui-ci professe désormais le caractère religieux de la poésie. Le poète est désormais un initié, un homme de Dieu : « La poésie n'est-elle pas redevenue, comme le dit si bien Guibert : « magie et délégation du divin ? », interroge Bosco ; « il y a derrière Amrouche un poète plus grand encore. Il y a Dieu », dit-il encore ici. La poésie est désormais « Verbe haut », « Parole supérieure », « message de l'Inexprimable ».