Fombeure, Maurice (1906-1981)

Classe

Personne

Forme retenue

fre Fombeure, Maurice (1906-1981)

Autres formes du nom

fre Maurice Fombeure
fre Maurice Alphonse Jacques Fombeure
fre Fombeure, Maurice Alphonse Jacques

Identifiant de la personne dans un référentiel externe

Nom de famille

fre Fombeure

Prénom(s)

fre Maurice Alphonse Jacques

Langue

fre

Nationalité

fr

Genre

fre masculin

Identifiant pérenne

Date de naissance

fre 23 septembre 1906
1906-09-23

Date de mort

fre 1er janvier 1981
1981-01-01

Lieu de naissance

Lieu de décès

Récompense(s) reçue(s) par la personne décrite

fre Grand prix de poésie de la Ville de Paris (1958)
fre Chevalier de la Légion d'honneur

Profession / Activités

fre Professeur

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fre Fombeure, Maurice (1906-1981)

Description

Issu d’une famille d’agriculteurs du Poitou, orphelin de mère à la naissance, élevé par ses grands-parents et par son père prud’homme et maire de village, Maurice Fombeure fait ses études au collège de Châtellerault puis entre en 1922 à l’Ecole normale d’instituteurs à Poitiers. Il pratique l’écriture de poèmes qu’il décide en 1925 d’envoyer à André Salmon, qui le met en relation avec Jean Cocteau, et à Max Jacob qu’il rencontre à Saint-Benoît-sur-Loire en 1926. En 1927, à Poitiers, il rencontre une étudiante, Carmen Javaugues qui devient sa femme en 1930 et connue pour ses poèmes sous le nom de Carmen Oriol. Maurice Fombeure prépare cette année-là le concours d’entrée à L’Ecole normale supérieure de Saint-Cloud où il entre en 1929 pour deux ans. Il fréquente les milieux littéraires parisiens et publie ne 1930 son premier recueil « Les silences sur le toit ». Après son service militaire, il est nommé professeur de lettres à l’Ecole normale d’Instituteurs des Vosges à Mirecourt. En 1932, il publie « la Rivière aux Oies », en 1934, est muté à Arras, puis en 1937, dans la région parisienne, à Saint-Germain-en-Laye puis Auteuil. Il partage son temps entre son emploi de professeurs et la poésie, soutenant les jeunes poètes comme Jean Cocteau, Max Jacob ou André Salmon l’avaient soutenu. Mobilisé comme caporal en 1939, il tire de son expérience « Les godillots sont lourds », puis publie de nombreux recueils jusqu’à sa mort.

Ressources liées

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Créateur
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