Salmon, André (1881-1969)
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Amis depuis 1903, André Salmon et Max Jacob, de 1905 à 1909, ils se voient pratiquement tous les jours dans les cercles de « La Closerie des Lilas », ou au Bateau-Lavoir de Montmartre, ou encore chez Picasso, au 13 rue de Ravignan, au-dessus de chez qui André Salmon occupe un atelier de 1907 à 1909, alors que Max Jacob occupe une chambre au numéro 7 de la même rue. Ils débutent ensemble se lisant leurs poèmes avant de les proposer à la publication, et après la mort de leur troisième comparse Apollinaire et le mariage de Picasso avec Olga, ils poursuivent à deux leurs œuvres en dehors des modes et des milieux artistiques ou du mouvement surréaliste. Ils partagent un parcours poétique à l’écart des courants modernes, à la fois chevilles d’une succession poétique entre le début du XXe siècle et l’après-guerre et esthétiquement inclassables mêlant dans leurs poésies renouvellements lyriques, hétérogénéités discursives, écarts ironiques, refontes des genres littéraires et populaires. Au jeune poète Michel Manoll, Max Jacob assure de la postérité d’André Salmon « Tout de même on le retiendra dans l’œuvre du XXe siècle 1905-1939. Il a duré 30 ans… et peut-être renaîtra-t-il », tandis qu’André Salmon sera de ceux qui s’attacheront à commémorer Max Jacob après la guerre.
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