I. — La doctrine
§ 1. Prise en charge d’un art indigène en voie de disparition
§ 2. Problème du renseignement de l’Art cambodgien
§ 3. L’urgence des mesures à prendre
§ 4. La psychologie de l’artisan et la nature de son art
§ 5. Les causes de la décadence
§ 6. Les fondements de la doctrine
§ 7. Justification de la doctrine

II. — Fonctionnement du Service des Arts cambodgiens (Exposé chronologique)
§ 8. La mise en application de la doctrine
§ 9. Le groupement des différents organes du Service des Arts
A. — Le Musée national
§ 10. Le rôle du Musée et son développement
B. — L’École des Arts cambodgiens
§ 11. Le rôle de l’école et la nature de son enseignement
§ 12. Sélection de l’apprenti
§ 13. L’action indirecte de la direction française
§ 14. L’école ne forme que des artisans, mais ne vend pas d’œuvre d’art
§ 15. Conditions de la libération des apprentis
§ 16. Outillage traditionnel
C — Direction des Arts cambodgiens.
§ 17. Coordination des différents organes du Service
§ 18. Mise en contact de l’artisan et de la clientèle (centralisation)
§ 19. Action de l’office de vente hors du Cambodge (décentralisation)
§ 20. Le mouvement économique général de l’office
§ 21. La nature de la main-d’œuvre libre
§ 22. Mélange de la main-d’œuvre libre et de l’artisan formé par l’École
§ 23. L’École en communication permanente avec l’extérieur
§ 24. L’organisation des Corporations cambodgiennes
§ 25. Les statuts des Corporations cambodgiennes
§ 26. L’organisation financière des Corporations cambodgiennes
§ 27. Actions artistique et économique combinées du contrôle
§ 28. La qualité de la production et l’inspection du travail
§ 29. La nature de l’art remis en pratique
§ 30. L’éducation commerciale de l’artisanat
§ 31. La clientèle indigène et l’artisanat indépendant
§ 32. L’évolution de l’art remis en pratique
§ 33. Le Service des Arts cambodgiens et l’Exposition coloniale de Paris

La convalescence des Arts cambodgiens