Insertion des immigrés : l'opinion des Français

Classe

Texte

Type de document

fre Tiré à part
fre Article

Titre

fre Insertion des immigrés : l'opinion des Français

Editeur(s)

fre MRAP

Date

fre 1984-07

Langue

fre fre

Format

fre fichier PDF
fre 25,4 Mo

Importance matérielle

fre 7 p.

Est une partie de

fre Vivre ensemble avec nos différences. Compte-rendu des Assises nationales contre le racisme

pages

fre 20-27

Source

Université Côte d'Azur. BU Saint-Jean d'Angély. Fonds Véronique De Rudder

Droits

fre Droits réservés

Droits d’accès

fre Réservé aux chercheurs de l'UNS et de l'Urmis

Identifiant pérenne

Description

Ce texte est paru en Mars 1984 dans un numéro spécial de Différences — magazine du MRAP (Mouvements contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) — consacré au compte rendu des Assises nationales contre le racisme qui se sont tenues les 16, 17 et 18 mars 1984, entre la première marche pour l’égalité et contre le racisme (Octobre-décembre 1983) et la seconde (« Convergence 84, novembre-décembre 1984) .

Dans cet article, Véronique De Rudder commente un sondage effectué par le MRAP et la SOFRES du 25 janvier au 4 février 1984 auprès d’un échantillon national de 1000 personnes représentatif de la population résidant en France, âgée de 15 ans et plus selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de famille) et stratification par région et catégorie d’agglomération.

Le texte présente les résultats « bruts » de questions qui abordent la connaissance que les français ont du poids et de l’apport de l’immigration en France ; leur opinions relatives à l’intégration des immigrés, à l’utilisation de leur surplus de cotisation, au droit de votes des étrangers, à l’attitude des immigrés vivant actuellement en France ; les réactions qu’ils auraient à travailler sous les ordres d’un contremaître ou d’un ingénieur immigré ; leur opinion sur la poursuite des comportements racistes devant les tribunaux. Le commentaire aborde la variation des réponses en fonction du sexe, de l’âge, du niveau d’instruction, ou encore la préférence politique des répondants. Il prend également en compte le critère de « proximité » construit de manière à permettre de distinguer leur réponse selon les relations que les personnes interrogées entretiennent avec de étrangers ou des naturalisés (sans proximité / proximité relationnelle / proximité familiale / proximité non choisie).
article