Temple de Préasat Préa Tomrey. Éléphant de profil, provenant de la pyramide du divin éléphant. Aux contours sobres, d'une simplicité élevée, d'un aspect un peu lourd, aux oreilles trilobées, cet éléphant paraît revêtu d'un charme particulier. Sculpture originale
Classe
Image fixe
Type
fre
Photographie
Titre
fre
Temple de Préasat Préa Tomrey. Éléphant de profil, provenant de la pyramide du divin éléphant. Aux contours sobres, d'une simplicité élevée, d'un aspect un peu lourd, aux oreilles trilobées, cet éléphant paraît revêtu d'un charme particulier. Sculpture originale
Créateur
Numérotation de l'éditeur
fre
58 (numéro du montage sur lequel figure ce cliché)
Date
Couverture spatiale
Format
fre
1 fichier JPEG (3,54 Mo)
Technique et dimensions
fre
Épreuve à l'albumine sur papier montage sur carton
fre
17*12,5 cm
Est une partie de
Provenance
fre
Bibliothèque de l'ancien Musée des colonies (Paris)
Marque(s) d'appartenance
fre
Tampons bleus du Musée de la France d'outre-mer
Source
fre
Université Côte d'Azur. BU Lettres Arts Sciences Humaines. Fonds ASEMI
Cote
PH83-114
Droits
fre
Domaine public
Identifiant pérenne
Description
Vue d'une statue d'éléphant, originaire de la pyramide de Preah Damrei. "Préasat Préa Tomrey" renvoie à ce dernier nom ; cette pyramide fait partie du Preah Khan de Kompong Svay. Louis Delaporte décrit ainsi la découverte de cet éléphant dans son livre Voyage au Cambodge : "Préasat Préa Tomrey, la pyramide du Saint-Éléphant, vers laquelle fut dirigée notre troisième excursion, est l'édifice le plus fameux de toute la contrée. Elle n'a que 20 mètres de côté à la base et 7 mètres environ de hauteur. Huit statues de divinités gardiennes et huit lions, posés au sommet des escaliers, entouraient primitivement sa plate-forme. Cette décoration était complétée aux angles par quatre éléphants richement caparaçonnés et rappelant ceux du célèbre temple indien de Madhoureh. La plupart de ces sculptures n'étaient plus que gisantes, en mauvais état, sur le sol ou sur les gradins, et cette destruction était assurément l'œuvre des hommes bien plus que celle du temps. Un seul éléphant était demeuré debout : c'était précisément le Préa Tomrey, l’Éléphant sacré, que les conquérants siamois n’avaient sans doute pas osé abattre.".