Morel-Francoz, Robert

Classe

Personne

Forme retenue

fre Morel-Francoz, Robert

Autres formes du nom

fre Robert Morel-Francoz
fre Morel Francoz, Robert Emile
fre Robert Morel Francoz
fre Robert Emile Morel-Francoz

Pseudonyme(s)

fre Septime

Nom de famille

fre Morel-Francoz
fre Morel
fre Francoz

Prénom(s)

fre Robert Emile

Langue

fre

Nationalité

fr

Genre

fre masculin

Identifiant pérenne

Date de naissance

fre 13 décembre 1902
1902-12-13

Date de mort

fre 20 janvier 2008
2008-01-20

Lieu de naissance

Récompense(s) reçue(s) par la personne décrite

fre Chevalier de la Légion d'Honneur (1953)
fre Officier de la Légion d'honneur (1961)

Source(s) utilisée(s)

Reprendre la forme retenue

fre Morel-Francoz, Robert

Description

Licencié en droit et titulaire du certificat d’études supérieures de lettres, Robert Morel-Francoz s’oriente vers la carrière diplomatique : il est admis au concours du corps diplomatique le 4 avril 1927 et est mis à la disposition de la Résidence générale du Protectorat français au Maroc de 1927 à 1952. Il est notamment en 1942 Contrôleur civil adjoint du chef des Services municipaux de Marrakech et de 1947 à 1952, Contrôleur civil à Taza, dans la région de Fès-Meknès. Pendant cette période, il s’intéresse aux tribus berbères, et écrit un essai sur l’« Organisation judiciaire des tribus berbères de l'Anti-Atlas ». Il fait partie, avec sa femme Germaine, née d’Espalungue d’Arros, des familiers d’Henri et Madeleine Bosco à Rabat, et le roman d’Henri Bosco « Monsieur Carre-Benoît à la campagne » paru en 1947 leur est dédié. Robert Morel-Francoz participe à la revue « Aguedal » avec quelques poèmes, forme qu’il pratique toute sa vie, puisqu’il publie dans des revues, comme dans « La Revue fédéraliste » en avril 1927 ou, par exemple, un petit recueil « Sonnets pour Hermès » en 1959 sous le pseudonyme de Septime.
En 1944-1945, il est chargé de mission auprès de la présidence du gouvernement provisoire de De Gaulle en 1944-1945. Il est ensuite, de 1952 à 1956, Premier secrétaire de l’Ambassade de France à Amman en Jordanie Hachémite, où il intervient avec humanisme dans le règlement du sort des réfugiés palestiniens, puis deuxième conseiller de l’ambassade de France à New Delhi en 1956, représentant français à Pondichéry en octobre de la même année jusqu’en 1960. Le 2 août 1961, il est nommé envoyé extraordinaire, puis, le 13 janvier 1962, ministre plénipotentiaire de France en Birmanie. En 1965, il est nommé ambassadeur de France à Quito, en Equateur jusqu’à sa retraite en 1967.

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