Lescoët, Henri de (1906-2001)
Classe
Personne
Forme retenue
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Lescoët, Henri de (1906-2001)
Autres formes du nom
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Henri de Lescoët
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Henri Louis Barbier
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de Lescoët, Henri
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Barbier, Henri Louis
Pseudonyme(s)
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Henri de Lescoët
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Lescoët, Henri de
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de Lescoët, Henri
Nom de famille
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Lescoët
fre
De Lescoët
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Barbier
Prénom(s)
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Henri Louis
Langue
fre
Nationalité
fr
Genre
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masculin
Identifiant pérenne
Date de naissance
Date de mort
Lieu de naissance
Lieu de décès
Récompense(s) reçue(s) par la personne décrite
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Prix Archon-Despérouses de l'Académie française pour "Reprendre coeur" (1945)
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Prix Saint-Cricq-Theis de l'Académie française pour "Trous dans le miroir" (1963)
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Légion d'Honneur
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Citoyen d'Honneur de la Ville de Nice (1987)
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Baron des Arts
Lieu de résidence
Membre de
Source(s) utilisée(s)
Reprendre la forme retenue
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Lescoët, Henri de (1906-2001)


























Description
Né en 1906 à Anjouan, une île des Comorres, alors colonie française, il passe son enfance dans le comptoir des Indes puis s’installe à Nice. Il publie très tôt ses premiers recueils de poèmes et en 1929, il crée et dirige les Editions des Îles de Lérins.
En 1940, il fonde les Editions et la revue « Profil littéraire de la France » où depuis Nice, il publie les écrivains de la zone libre. La revue se poursuit jusque dans les années 1960 sous le titre de « Septembre » puis d’« Abordages ». En 1941, il fonde le « Prix Apollinaire » surnommé le « Goncourt de la poésie ». Il se rapproche des poètes de l’Ecole de Rochefort et participe aux cahiers de l’Ecole en 1942 et 1944. Également artiste, en 1955, grâce au poète argentin Ariel Ferrero, il expose ses peintures en Argentine, en Uruguay et au Chili. Il se tourne de plus en plus vers l’Amérique latine dans les années 1960, publiant des traductions des poètes Ruben Dario, Huidobro, Neruda Undurraga et collaborant avec les plus grands journaux d’Amérique latine.
En 1940, il fonde les Editions et la revue « Profil littéraire de la France » où depuis Nice, il publie les écrivains de la zone libre. La revue se poursuit jusque dans les années 1960 sous le titre de « Septembre » puis d’« Abordages ». En 1941, il fonde le « Prix Apollinaire » surnommé le « Goncourt de la poésie ». Il se rapproche des poètes de l’Ecole de Rochefort et participe aux cahiers de l’Ecole en 1942 et 1944. Également artiste, en 1955, grâce au poète argentin Ariel Ferrero, il expose ses peintures en Argentine, en Uruguay et au Chili. Il se tourne de plus en plus vers l’Amérique latine dans les années 1960, publiant des traductions des poètes Ruben Dario, Huidobro, Neruda Undurraga et collaborant avec les plus grands journaux d’Amérique latine.
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