Manoll, Michel (1911-1984)
Classe
Personne
Forme retenue
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Manoll, Michel (1911-1984)
Autres formes du nom
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Michel Manoll
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Laumonier, Michel
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Michel Laumonier
Pseudonyme(s)
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Manoll, Michel
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Michel Manoll
Identifiant de la personne dans un référentiel externe
Nom de famille
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Laumonier
Prénom(s)
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Michel
Langue
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Nationalité
fr
Genre
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masculin
Identifiant pérenne
Date de naissance
Date de mort
Lieu de naissance
Lieu de décès
Récompense(s) reçue(s) par la personne décrite
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Prix de la Fondation Fénéon (1950)
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Prix Marc Elder (1952)
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Grand Prix du Cirque (1955) pour "Nous les Fratellini"
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Prix René Laporte (1958)
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Grand Prix de Littérature pour la jeunesse (1961)
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Prix Thyde Monnier (1975)
Site web de ou sur la personne décrite
Profession / Activités
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Poète et auteur d'essais
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Auteur pour enfants
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Journaliste et producteur d'adaptations radiophoniques
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Libraire
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Enseignant
Source(s) utilisée(s)
Reprendre la forme retenue
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Manoll, Michel (1911-1984)
Description
Marqué par le décès de son père à Verdun, Michel Manoll est attiré par la vocation poétique dès l’adolescence, pendant laquelle il lit Nerval, Verlaine, Rimbaud, Vigny, Baudelaire, et P. J. Toulet. Il rencontre Max Jacob et Pierre Reverdy, avec qui il entretient une correspondance et auquel il rend visite à l’abbaye de Solesmes. A Solesmes il épouse Thérèse Tulasnes, artiste et poète qu’il connaît depuis ses études à Alençon.
A Nantes, il crée une librairie puis le couple se lie avec Jean Rousselot et Thérèse collabore à la revue « Le dernier carré » de celui-ci et de son ami Fernand Marc. En 1935, Michel Manoll entre en contact avec Jean Bouhier qui publie un de ses poèmes dans « La Bohème ». Au printemps 1936, il rencontre également celui qui deviendra son grand ami et son disciple, René Guy Cadou. En 1936, il fonde lui-même la revue de poésie « Le pain blanc ». Son premier recueil de poésie est publié par les éditions de « La Hune » en 1937.
Pour suivre ses projets d’écriture, il abandonne le commerce de librairie pour devenir enseignant de lettres au collège Stanislas de Saint-Calais, dans la Sarthe. Pendant la guerre, il se retrouve souvent avec ses amis poètes chez Jean Bouhier, fondateur de « L’Ecole de Rochefort ». En 1945, il s’installe à Paris où il rencontre Paul Gibson, directeur des services artistiques de l’ORTF et débute sous son égide en 1948 une carrière radiophonique tout en étant employé comme journaliste à « Francs-jeu », un magazine pour enfants.
Collections
Relation(s)
Ressources liées
Filtrer par propriété
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Le Pain blanc : cahiers de poésie, numéro 1 | Contributeur(s) | Texte |
Le Pain blanc : cahiers de poésie, numéro 2 | Contributeur(s) | Texte |
Titre | Libellé alternatif | Classe |
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