Barrucand, Lucienne
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Description
Relation(s)
Le 5 mai 1937, Lucienne Barrucand écrit à François Bonjean pour l’inviter à rejoindre l’Association syndicale des écrivains algériens. Leur relation épistolaire devient de plus en plus intime, Lucienne Barrucand faisant état de l’évolution de sa santé, et durera au moins jusqu’en 1941. Elle explique aussi à François Bonjean ses relations avec les uns et les autres, et par exemple avec Isabelle Eberhardt dont son mari Victor Barrucand était le découvreur et l’éditeur dans « L’Akhbar » : « Je vous remercie aussi de m’avoir parlé d’Isabelle Eberhardt. Je ne l’ai pas connue personnellement. Mais elle est liée à toute ma vie, et de façon qui semblerait extraordinaire à beaucoup de gens » (lettre du 22 mai 1937).
Restée à Alger après la mort de Victor Barrucand, Lucienne Barrucand y vit entourée en particulier d’Edmond Brua et sa famille.
En 1936, elle publie dans « La Dépêche algérienne » un premier ensemble de lettres du maréchal Lyautey à son mari, et poursuit le projet de faire publier l’ensemble de leur correspondance, projet où elle échouera, choisissant finalement en 1949 de déposer ces lettres aux Archives du Gouvernement général d’Algérie.
Avec Jean Grenier et René Janon, elle fonde l’association syndicale des écrivains algériens.
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